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PZL 11C Détails de construction
   Instruments
provisoirement en
place
Le panneau d'instruments :
Il n’est pas scrupuleusement représentatif du « grandeur » mais cherche à s’en approcher. Il est réalisé suivant la méthode décrite à la page astuce. plus quelques petits détails en reliefs.
Sur la photo ou il est provisoirement en place on distingue le compas, juste une bille de balsa, un petit bandeau imprimé avec les degrés et un berceau en aluminium de 0.5mm.
Quelques finitions seront encore nécessaires au moment de la réalisation des détails de cockpit.
NB : Attendre les finitions de détails et notamment la peinture avant de le coller en place.
Vous pouvez télécharger le panneau d'instruments au format PDF  Panneau d'instruments


Le pilote

Le pilote :
Comme pour le Dewoitine et pour ne pas changer les habitudes un peu de  « bric et de broc » , pas historiquement fidèle mais quand mieux que ken  le copain de Barbie et puis vue de loin …. Pour ce faire, il faut fabriquer une ossature en polystyrène ou en mousse articulée avec fil de fer ou de cuivre, une photo de visage détrempée pour être collée sur une « sculpture » balsa (terme prétentieux) du relief de ce même visage, deux  mains également « sculptées » dans du balsa , une découpe dans du carton pour les de lunettes, un peu de ce qu’il y a dans le tiroir, un peu de tissu mais  pas trop rigide (du genre tee-shirt, un vieux de préférence !!) et voilà un pilote 34g. Pour l’instant il est préférable de ne pas le fixer définitivement en place, cela sera fait au moment des dernières finitions.

Le poste de pilotage

Le poste de pilotage :
Lui aussi est inspiré du « grandeur » mais reste au niveau de la semi maquette. Sachant que chacun aménagera cette partie à son goût personnel je ne donnerais pas plus de détails.


Juste une petite astuce pour réaliser les baudriers car n’ayant rien en « magasin » j’ai fini par … ? « Eurêka » du tissus de tee-shirt (j’en abîme beaucoup à l’atelier !! ). Prendre un coupon et le tendre modérément sur le plan de travail puis y coller des bandes de ruban de masquage (celui pour les lignes droites) et miracle ca se coupe au cutter et ça ne s’effiloche pas.
Particularité
des raccords
des tôles

Aspect
envisagés des finitions

Choix des finitions :
Après pas mal d’hésitations entre peinture sur bouche pores et apprêt,ou « oracover » ou « diacov » plus peinture, le choix s’est porté sur la dernière alternative. La première solution étant trop alourdissant et la seconde ne permettant pas certains détails maquette. En effet vous remarquerez que les tôles intrados des ailes et du stabilisateur ainsi que la dérive sont reliées non pas par recouvrement mais par des liaisons perpendiculaires (voir photo)

Ainsi sur la « diacov » il sera possible de coller des lamelles de balsa et de créer partout ou c’est nécessaire des faux rivets par point de colle ou suivant la méthode de fainéant décrite à la rubrique Astuces.  Ensuite viendra la peinture qui pour moi sera  presque une première ……

Quant aux couleurs et autre détails le choix est large et peut être choisi dans les finitions présentées ici  http://wp.scn.ru/en/ww15/f/237/29/3#30
Pour ma part les finitions ressembleront à celle représentées sur la photo, largement inspirées d’un « grandeur »  mais  très librement interprétées !

Marouflage
Marouflage :
Comme mentionné plus haut il à été réalisé au « Diacov®» ce matériau proche du « Solartex® » ou « Oratex® » à le gros avantage de bien renforcer la structure, par contre comme sa découpe n’est pas franche et a tendance à plucher, essayez dans la mesure du possible de faire les raccord au endroits où se situeront les lignes de tôles. L’ajout de poids reste raisonnable, il est de 105g.
A ce stade l’avion complet hors roues pèse 1620g, une fois peint et complètement équipé l’objectif de 3kg hors système de bruiteur (200g)  sera très probablement atteint, il faudra juste rester léger en peinture et « babioles ».
Finition intrados

Finition de l’intrados de l’aile :

Les  rivets des lignes de tôles (rivets principaux) sont réalisées suivant la méthode dite de « fainéant » ,  quant aux autres (rivets secondaires) ils sont réalisées en creux à la roulette à rivet.
Les raccords de tôles tentent d’imiter le « grandeur » ils sont réalisés dans des petites baguettes de balsa de 2mm  d’une hauteur de 2.5mm. Un peu épais pour imiter deux épaisseurs de tôle mais une valeur plus faible est trop fragile.  
Finition extrados
Détails maquette

Finition de l’extrados de l’aile :

Comme pour l’intrados les lignes de rivets sont réalisées soit par la méthode de « fainéant » soit à la roulette.







A cela sont ajoutés quelques détails maquette correspondant aux différentes trappes.



Aile finie

Fuselage fini
Mise en peinture :
Il faut compter au moins 2 couches avec un léger ponçage  très fin entre couches. Les aérosols utilisés sont des acryliques mats de la marque DB street de chez Dalbe (il ne me verse rien pour cette publicité gratuite lol) les teintes étant les suivantes : DB 165 pour les intrados et ocre DB 104 pour le reste.
Un peu déçu par le peu de pouvoir couvrant de la peinture ocre, j’ai du après la première couche passer au pinceau un voile très coloré composé d’un tube ocre jaune acrylique de 20ml destiné aux arts graphique  dilué dans 10ml de vernis acrylique mat profond et 10ml d’eau. Cette mixture est suffisante pour la totalité de l’appareil.
Une autre alternative qui peut être est plus couvrante : les  peinture Montana MTM 94 très prisée des graffeurs dans les teintes RV 119 et RV 113 mais malheureusement pas disponibles dans mon coin.
La prise de poids est très modérée, compter environ 50 à 55 g et sensiblement un peu moins  pour le fuselage.
Les décorations simples sont réalisées à l’aide de peinture acrylique en tube dilué à 2 pour 1 dans du verni acrylique mat. Le gros avantage est que l’on peut disposer d’une grande palette de couleur et en fabriquer de toutes petite quantité. Le séchage est rapide, le solvant de l’eau et surtout par les temps qui courent le prix est très bas, le tube de 10ml  étant au alentour de 1€ voir 0.5€ par boîte de 6 couleurs variées. Les parties plus complexes sont soit imprimées sur du transparent adhésif soit comme le vautour imprimé sur du papier ordinaire (*1) . Une première couche de verni avant détourage, collage à la colle contact sans solvant puis deuxième couche de verni (*2).
1 : Le papier ordinaire mais de bonne qualité à l’avantage d’être fin et d’épouser aisément la formes des faux rivets que le décors recouvre.
2 : Utilisez du verni glycérophtalique ou un verni en bombe car mon premier essai était désastreux le verni acrylique (à l'eau) appliqué au pinceau étalait l'encre.
Comparé aux finitions style  « oracover © » l’aspect final est bien plus « rustique »,  ce n’est pas pour déplaire à ce style d’avion qui d’ailleurs prendra encore plus de caractère lors du vieillissement.
A ce stade et sans prétention il faut avouer que c’est quand même mieux que du « almost ready to fly » !


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